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Sciences Physiques en MP*, Lycée Clemenceau Nantes

Diaporamas présentés en cours


La boule sphérique, de diamètre environ 1 m, en granit de Suède repose sur un mince film d'eau (environ 0,1 mm) dans sa partie inférieure. La surpression de l'eau par rapport à la pression atmosphérique est d'environ 0,5 bar. Il suffit d'une surface un peu inférieure à 1 m² pour que l'eau exerce alors une force qui compense le poids de la boule dont la masse est de 1300 kg. Le poids étant compensé, les frottements sur le film d'eau très réduits, la mise en mouvement de la boule est aisée. Une fois mise en mouvement, elle y reste quelques minutes. Photographie réalisée au Parc Scientifique du Près-la-Rose à Montbéliard (25).





Systèmes de coordonnées       

Représentation sinusoïdale   Electronique linéaire et non linéaire  

Analyse de Fourier       Echantillonnage      Précision d'un spectre

Généralités sur les ondes      Vitesse de groupe     Diffraction et pouvoir de résolution   Polarisation  

Interférences   Interféromètre de Michelson 

Les principes de la Thermodynamique         Thermodynamique des écoulements permanents  

Changement de référentiels     Quantité de mouvement    Mécanique    Rotation       

Diffusion des ondes électromagnétiques  

Introduction à la Mécanique quantique  

Physique statistique

Grandeurs standard de réaction    Diagramme E-pH   Electrochimie  


Cette photographie montre la décomposition de la lumière d'une lampe à vapeur de mercure. L'image de la fente source non décomposée correspond à la trace verticale située à droite. Sur la gauche, la lumière est décomposée en 4 raies principales dont la plus intense est la raie verte à la longueur d'onde de 546,1nm. L'observation des spectres de raies à la fin du 19ème siècle a été à l'origine de la notion de niveau d'énergie dans l'atome, tout d'abord dans le modèle de Bohr de l'atome d'hydrogène et plus tard lors du développement de la mécanique quantique.
 



On se place en lame d'air avec l'interféromètre de Michelson. L'éclairage est réalisé par une lampe à vapeur de mercure.On déplace le miroir mobile. Les anneaux rentrent vers le centre, on se rapproche du contact optique.





Les anneaux sortent de la figure, le déplacement du miroir l'éloigne du contact optique. on éclaire toujours avec la lampe à vapeur de mercure.









On se place toujours en lame d'air avec l'interféromètre de Michelson (lampe à vapeur de mercure). On déplace le miroir mobile jusqu'à atteindre puis dépasser le contact optique. On perçoit des interférences en anneaux pendant une longue durée puis des teintes relativement uniformes témoignant du voisinage et du passage par le contact optique.







Ici, l'interféromètre de Michelson est réglé en coin d'air et en lumière blanche. Le déplacement du miroir mobile entraîne un déplacement des franges. Les franges ne sont perceptibles que pendant une courte durée du fait de la largeur spectrale de la source de lumière blanche utilisée. La fonction de contraste tend vite vers 0, il y a brouillage des système de franges.









On est en à nouveau en coin d'air. On réduit la largeur spectrale de la source en utilisant un filtre situé dans le vert d'une bande passante de l'ordre d'une vingtaine de nanomètres. On observe les franges rectilignes sur une durée nettement plus grande qu'en lumière blanche.







On utilise, ici, un filtre travaillant dans le jaune toujours avec une bande passante d'une vingtaine de nanomètres. L'interfrange dépend de la longueur d'onde (un peu plus grand ici mais c'est difficile à percevoir) mais la fonction de contraste va évoluer au même rythme que dans le cas précédent.













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